Dans Le Figaro Vox, Paul-Marie Chaumont revient sur l’essor de l’intelligence artificielle, qui, pour lui est loin de signer la disparition des auteurs de récits. Mais pour se différencier des algorithmes, ils devront oser des histoires plus surprenantes, avec des partis pris plus tranchés et des incarnations plus fortes.
« Ne nous méprenons pas : l’IA a déjà gagné la bataille du volume. Pour gagner celle des récits susceptibles de capter l’attention des publics, qui transforment ou réconcilient, c’est à nous, créateurs de récits, foncièrement humains et imparfaits, de savoir nous dépasser pour inventer des histoires toujours plus nuancées, surprenantes et inspirantes. »