Conseil
stratégique
en communication

Ce qui était toléré hier l’est, aujourd’hui, de moins en moins : violence envers les animaux, violence psychologique à l’école, etc. ; les minorités défendent leurs intérêts et leur identité de manière militante. L’indignation est devenue un modus operandi  particulièrement fréquent sur les réseaux sociaux.

 

Nous avons trois hypothèses pour expliquer l’accélération de ce phénomène :

 

La montée de l’individualisation.

Notre société est de plus en plus individualisée et le phénomène, « j’ai le droit », se manifeste toujours davantage face à tout ce qui pourrait porter atteinte à ces libertés.

L’extension de l’empathie.

De plus en plus d’individus se perçoivent comme appartenant à une minorité et revendiquent leurs droits dans les médias. Cette (hyper)médiatisation légitime leurs actions auprès de la majorité qui comprend mieux leurs enjeux et difficultés.

Le business de l’indignation.

Pour les médias, l’indignation est un moyen de capter l’attention ; pour les réseaux sociaux, c’est un moyen de susciter des réactions qui font vivre leurs plateformes.

 

Les marques, scrutées à la loupe par différents observateurs,  sont elles aussi directement touchées par ce phénomène et ne sont pas à l’abri de risques variés (d’image, juridique, organisationnel ou business). Dans un climat propice aux crises, les marques adoptent des stratégies de réparation très diverses afin de limiter leurs ampleurs.